Avant d’écrire un article de ce genre, je me suis pas mal interrogé sur ce que c’était. J’ai observé comment était perçu cette notion par la plupart des gens et comment elle était mise en œuvre dans l’actualité d’aujourd’hui, d’hier. Un consensus qui pourtant, je dois vous l’avouer peu aussi apporter son lot de surprise. Cette force qui fait que les choses tombent par terre n’est pas vraiment une simple affaire. Pourquoi est-elle si présente alors que nous savons pertinemment que sans elle, tout foutrait le camp ! Pourquoi se rapproche-elle autant des sensations et de la lucidité des phénomènes ?
Sommes nous tous aveugle à ce point-là, maladroit comme des cochons. Cela expliquerait bien des choses sur notre manière de réfléchir et de construire durablement… Par exemple, le fait qu’aucune formation que je connaisse sur l’énergie ne l’évoque par l’expérience. Que beaucoup de monde continue de vous proposer des garanties de performance énergétique sans aucun résultat. Que les transitions piétinent sans vraiment trouver de réponse satisfaisante. Et surtout que les nombreuses de procédures échouent à s’accorder sur des conventions environnementales, toujours plus complexe à comprendre et à renseigner dans les outils d’aide à la décision.
Nous en arrivons à proposer des solutions d’intelligence si délicate qui ne savent pas vraiment ce que procure un kilo gramme ! Je trouve cela franchement inquiétant sur l’orientation de nos choix. Cette notion pourtant si simple à manipuler permet aussi de se baser sur quelque chose de concret. À elle seule, elle sait entretenir ce lien intime entre l’espace et le temps. À croire que la vie nous pousse tout le temps à ramasser des trucs par terre…
Néanmoins, je constate également qu’il n’y a pas besoin d’y repenser à chaque instant de notre vie pour continuer de construire de beaux ouvrages. Ni pour s’accorder sur des usages de la vie quotidienne. Elle reste pourtant-là, présent dans un coin de ma tête et constante dans l’univers qui nous entoure.
C’est une considération particulière qui va au grand-maître de cette mécanique classique Sir Isaac Newton. Il doit faire des tours dans sa tombe en voyant sa découverte malmenée par des robots sans conscience. La loi universelle de la gravitation restera une constante qui ne nécessite pas forcément de calcul savant pour s’accorder sur le fait que les choses tombes, car nous les envoyons aussi en l’air.
Découverte ou redécouverte ?
Les personnes qui n’y savent pas grand-chose n’y comprennent encore moins quand il s’agit d’analyser les nombreuses hypothèses qui composent un calcul énergétique. Surtout dans les bâtiments neuf ou la réalisation d’une étude de cycle de vie a plus de sens pour l’auditeur qui cherche avant tout la précision et la confrontation avec la réalité pour montrer à un client qu’il réalise un travail correctement. Vouloir coller au mieux à l’évidence de l’ouvrage, c’est surtout pour la conformité à des limites réglementaires gouvernementale. En réalité ça ne fonctionne pas vraiment. Comme si nous souhaitons débattre de la vie dans des rapports et des calculs. Ce qui existe réellement est à coté. Pourtant, personne ne souhaite que son projet ne respecte pas les dernières normes légales.
Alors vous imaginez dire qu’il n’y a aucun texte qui permet de l’encadrer correctement ?
La réglementation environnementale se barde petit à petit de convention qui grappille nos discours et bride l’analyse de nos scientifiques. Cela au profit de lobby bien implantés dans le paysage. Ils poussent à la prise en compte de nouveaux facteurs qui n’ont plus beaucoup de sens physique.
Or, si je vous dis qu’un lien profond persiste entre la réalité des phénomènes énergétiques qui se produisent partout sur terre et ce que laisse entrevoir le monde du vivant, me croiriez vous ? Je ne pense pas. Car cette valeur universelle ne se laisse pas approcher simplement par des valeurs numériques ou des contrats aux closes bien conçues.
Combien de fois n’ai-je pas entendu cette phrase : ce n’est pas valorisé dans le calcul thermique… Ou bien : mettez de la laine de verre, c’est mieux que la laine de bois ou que la ouate de cellulose !
Ce n’est pas le sujet. Dans cette réflexion, c’est la valorisation de l’action qui permet d’entrevoir que la précision de nos approches ne sont encore qu’au début d’une nouvelle forme de perception humaine. Celle-ci tenant compte de plus en plus du respect des corps simples et fragiles.
Une chose est certaine, c’est en faisant vos propres bidouilles et en expérimentant que vous arriverez petit à petit à vous forger votre propre avis sur ces questions. Et si c’est bon pour les affaires, alors il est évident qu’en faisant des petits pas vers l’autre, les lignes vont bouger. Car si nous ne sommes pas d’accord sur ce qu’est une nouvelle découverte. Alors il sera difficile de vous donner envie, de vous transmettre de nouvelles choses que vous ne connaissez pas. Cela pour redéfinir correctement les possibilités de notre monde.
C’est ainsi, j’ai beau essayé de faire rentrer des carrés dans des ronds. Je ne peux que constater que ça ne fonctionne pas avec l’administratif. Je ne vois donc que l’exposition frontale de ce qu’il est envisageable de faire avec.
Intégration ou Déconnexion
Je suis d’accord qu’il est plus simple de se représenter d’abord des petits détails, de vérifier et de valider les réactions plutôt que de se dire : oui ça marche comme ça, nous maîtrisons la situation, nous pouvons en tirer une généralité pour l’ensemble des cas. Par exemple, sur un outil de simulation thermique dynamique, il n’y a qu’une seule valeur pour la température d’une pièce. Pourtant, ce qui fait évoluer la stratification d’un local, c’est bien sûr cette notion de pesanteur qui pousse les atomes vers le haut. En réalité, les atomes d’air plus chaud, ils prennent plus d’espace, ils montent, car ils sont plus légers. S’ils sont plus lourds, ils sont alors plus froids, ils se rassemblent, ils descendent…
Quel que soit le local, cela se vérifie notamment par des mesures très simples. Même si les variations sont infimes.
Mes clients cherchent pourtant des estimations précise, surtout lorsqu’il s’agit de leur propre construction. Ils souhaitent les meilleurs produits pour vivre correctement. Souvent, ils veulent également que ça coûte le moins cher possible. Cependant, ils ne comprennent pas que les services énergétiques s’expriment par des unités alambiquées comme des kWh. Même s’ils restent tout de même compliqués à estimés, il découlent de nombreuses découvertes.
Pour nous, énergéticien, ces unités sont largement suffisantes pour ce que nous souhaitons produire comme analyse. L’intégration d’une telle notion d’attraction n’aura je pense que peu d’impact sur des estimations de consommation des bâtiments. Les outils de calculs étant suffisamment mature pour voir ce que nous souhaitons vérifier et connaître ce que nous souhaitons savoir. De plus, cela nécessiterait des outils infiniment puissant que ça en deviendrai excessivement cher pour le service donné.
Il y a des simplifications possibles.
La mesure permet de constater et de retenir ce qui se passe, au moins quelques grandeurs. Elle ne vous indique pas forcément quel lien faire entre les disciplines. Alors si vous êtes en quête d’aventure, grimpez sur le plus haut sommet du monde. Vous le constaterez probablement, l’air s’y fait plus rare au sommet de la montagne. Or, l’originalité d’une aventure reste-t-elle valable si elle se transforme en autoroute pour personne fortunée ?
C’est pourtant évident, la gravité ne s’achète pas. Même la plus importante richesse de la planète ne pourrait l’acquérir quelle que soit la devise. Elle ne se vend pas non plus.
Vous avez bien des outils de calcul des structures, de résistance des matériaux qui prennent en compte les éléments porteurs. Ils permettent de comprendre comment une poutre peut soutenir un porte-à-faux ou si le toit peut effectivement supporter un poids de neige. Cependant, si l’objectif est de voir si ça tient debout dans des conditions extrêmes ou de dimensionner une poutre pour une situation qui arrive 1 fois dans l’année, oui, c’est possible. C’est différent de voir si un ouvrage résistera à la tempête du siècle.
Il n’y a pas vraiment d’interactions entre la situation présente et le vivant dans un outil de calcul. Il vous délivre simplement un résultat. Ou plutôt, c’est le vivant qui utilise ces outils. Donc l’intégration des phénomènes gravitaires nous rapproche de l’instant réel, du moment dans lequel nous nous trouvons au moment où nous le constatons dans les conditions qu’offre l’espace. Et il n’y a pas toujours des problèmes à résoudre.
La gravité de la situation
La vie n’a jamais eu de problème pour continuer sa route. Ce n’est donc qu’une idée de la perception et une représentation de l’évolution des techniques qui se manifeste par le simple fait que nous sommes des êtres intelligents et que la technologie évolue.
L’information que nous émettons en permanence en suit une sorte d’éventail ou le point focal est votre propre connaissance du monde et ce que vous voyez dans votre champ de vision. Ou plutôt ce que vous connaissez et ce qu’il est possible d’envisager par rapport à vos projections futures. Donc dans votre imaginaire, car si vous n’y êtes pas, il sera toujours difficile de juger de la pertinence d’une situation. Finalement, le fait que les connaissances énergétiques d’aujourd’hui soient ci précise, elles ne corrèlent pas forcément avec ce que vous souhaitez obtenir comme résultat. Toutefois, elles continuent d’avancer. C’est alors que je pense qu’il faut conserver certains repères.
Les modifications sont très courantes dans les rendus d’étude thermique. Les mises à jour d’un calcul pour la simple et bonne raison que les fournisseurs proposent des alternatives, moins chères. Ainsi, le client souhaite des modifications. Un coup c’est la fenêtre qui change pour du double vitrage, un coup c’est l’ossature bois qui change pour une maçonnerie. Cependant, il ne s’attend pas forcément à ce que ça modifie l’ensemble des contraintes ou des techniques. Il ne s’attend pas à ce que d’autres paramètres seraient induits par ces modifications comme le renforcement de l’étanchéité à l’air ou encore le traitement des ponts thermiques. C’est à se demander ce que nous faisons de notre matière grise.
En ne regardant seulement la conclusion, les clients ne comprennent pas qu’un ensemble de modifications peut avoir des conséquences importantes sur le temps nécessaire pour configurer ces conformités. Mais également sur le temps de réflexion qu’il faut pour conduire à un résultat satisfaisant. Et donc sur le temps de travail, sur le cout de la prestation, comment a-t-on su, etc…
Devant cet éventail de possibilité, il est parfois difficile de produire une solution. Pas de panique ! Même s’il n’y a rien de grave, après tout, ça reste que du matériel, il est aussi délicat de s’y retrouver. Ainsi, pour le prescripteur, je crois qu’il devient plus simple de réduire ce temps de la décision. De le contenir à sa plus petite valeur, cela pour en faire ressortir la meilleure solution, celle dont le pouvoir est de s’en sortir quelle que soit la situation.
Tu veux savoir pourquoi est-ce impossible de décider à ta place ? Apprends ça ! Fait le ! Essaye au moins ! Tu verras ainsi toute la difficulté que nous avons à tenir un engagement. Après, nous en débattrons.
Effectivement, c’est de la recherche ! Mais comme dit le dicton, nous savons ce que nous quittons, mais nous ne savons pas forcément ce que nous y gagnons. Néanmoins, je dois dire que c’est pertinemment ce qui arrive lorsque vous vous cassez un bras. Vous faites confiance au médecin qui vous examine. Il vous prescrit le plâtre sans forcément vous délivrer pourquoi il fait ça comme ça, il faut réparer, c’est tout ! Ce n’est souvent qu’après que vous pouvez discuter avec lui de ces longues études. Des nombreux cas qu’il a étudié dans sa carrière. C’est la même chose lorsqu’on évoque l’actualité de l’énergétique. Aujourd’hui elle bouge à toute vitesse, autant se poser tranquillement pour l’évoquer !
Notre monde est en train de s’ouvrir à des sujets plus vastes que nous n’aurions pas imaginés. Et c’est en contradiction totale avec des environnements administratifs fermés dans lequel nous évoluons et que nous prenons pour acquis. Là où l’image est la principale source de documentation. Il persiste aujourd’hui des échanges qui se figent sur un des côtés de votre écran. Il est donc impossible de vérifier et de débattre avec ces images. Et pour améliorer la situation, il n’est pas possible d’observer que la coordination serait bien exécutée selon la manière dont la prescription est effectuée. Le danger est donc bien réel de perdre cette idée du temps et de l’espace que nous avons en commun.
Donc si vous souhaitez vraiment que l’information arrive là où elle doit l’être. Il devient plus simple et plus sage de conserver quelques stratégies. Car dans le cas où elle serait mal perçue. Là où elle se heurte à des résistances, voir même là où elle s’oublie… Bref, pour faire face à n’importe quelle situation, je crois que seul l’intelligence vivante peut réagir correctement. Et dans le cas d’un pari sur lui-même, cela signifie aussi être dans la capacité de remiser quelques approximations.
Ce lien lucide entre l’espace et le temps
Il ne peut pas y avoir de gendarme derrière chaque clic de souris d’ordinateur. Seul devant votre écran, personne ne vous fera de mal sur ce qui arrivera. Et personne ne vous impose quoi que ce soit sur la manière dont vous souhaitez diffuser vos informations. Cependant, des modifications de l’image interviennent toutefois pour masquer ces défauts que nous ne souhaitons pas voir. Tel est la triste réalité de cette nouvelle génération. Des petites anomalies qui masquent l’équilibre entre ce que savons et ce que vous êtes vraiment, entre ce que nous voyons et ce que vous pouvez proposer. Ainsi, votre virtualité n’est que la perception que les gens possèdent.
Dans la limite du corps humain, il y a cette réflexion sur le hasard d’une coquille imperceptible par certains, tolérée par d’autres, mais inacceptable pour beaucoup. Pourtant, ils vous aiment d’abord, car ils vous connaissent, ils savent que vous existez, pour de vrai. Ils font avec ce dont vous êtes capable et ils agissent en conséquence.
Dans la diffusion d’information, il y persiste principalement deux notions dont nous n’avons pas vraiment l’habitude d’entendre :
- Le temps d’apprentissage
- La qualité d’une donnée
Dans un orchestre symphonique, par exemple, il y a tout un tas d’instruments, en maîtriser un, c’est déjà pas mal ! Faire partie du groupe ça demande un peu de fierté et aussi de respecter cette harmonie, même or représentations. Car s’accorder à plusieurs demande aussi de suivre les recommandations d’un chef. C’est ce qui fait de nous des êtres créatifs, nous ne sommes pas parfaits. Néanmoins, nous cherchons des solutions dans toutes les directions. Alors pour rendre une situation agréable à vivre, nous sommes souvent prêts à tout faire pour y arriver, y compris n’importe quoi.
Cela signifie aussi que la perception d’un ensemble sera cohérent si la prescription liée à l’information aussi importante soit elle demande de la logique par rapport à la situation vécu. Elle n’est plus liée à la quantité et peut également être aussi brève et aussi légère qu’un courant d’air.
Réfléchir au delà ?
S’il y a une question qui me laisse sans réponse, c’est bien celle-ci :
Jusqu’à quel point la réflexion peut-elle aller ?
Dans la conception de nos ouvrages, il est possible d’imaginer n’importe quoi pour satisfaire un besoin. Pour peu que l’on possède les sous, rien n’est impossible. Mais je crois que les économies ne se feront seulement si vous êtes à jour sur les possibilités offertes par cette valeur. Ce qu’elle vous apporte dans la mise en œuvre autant pour l’individu que pour un collectif. Sans cela, je pense que les débats resteront stériles.
Lorsque je délivre des prescriptions énergétiques à des clients, il persiste un point qui ne permet pas de voir au-delà de ce que je connais. Je me heurte tout le temps à cette notion qui permet d’équilibrer une figure. Et ce raisonnement marche dans les deux sens, il est donc important pour moi de continuer de l’illustrer et de transmettre des manières de l’utiliser. C’est donc dans ce que nous percevons des débats qu’il y a de la matière à creuser. Or, les réponses que je peux avoir de certains me fascinent par leur diversité à vouloir imposer des règles : “Nous devrions faire comme ça… Nous devrions imposer des quotas de kWh”. Nous ne sommes pas dans une dictature voyons ! C’est à se demander si nous souhaitons vraiment plus d’intelligence.
Est-ce du bluff ? De l’inconscience ? De la maîtrise ?
Probablement un mixte de tout ceci. Or, sur la gravité, je ne crois pas qu’il a de discussion possible, elle est là présente, constante et se dresse face à nous. À nous de bâtir avec elle des ouvrages utile et sensé. Car si vous ne la voyez pas, alors vous ne vivez pas vraiment dans le monde que je connais.
Ce qui est certains, c’est que la réflexion que nous menons est liée à notre histoire à ce que nous proposons comme solution ou a ce vers quoi nous aspirons. La technologie arrive-t-elle avant la prise en compte par une population ? Je ne sais pas, mais lorsqu’elle est stable, vous le voyez en général, pas besoin d’en rajouter.
Relativité augmentée
En évoquant l’énergétique d’aujourd’hui, avec des collègues avec des amis, je trouve bien souvent que les discours ne collent pas vraiment avec celles de nos capacités. Alors, si le défaut permet de réaliser l’imprévu et de percevoir les limites de nos sens, autant qu’il existe vraiment. Car en prenant pour acquis la connaissance d’une machine artificielle aussi intelligente soit elle. La conception même de la créativité serait justement biaisé par ce qu’elle à appris. Dans ce cadre, je ne pense pas que l’on puisse trouver de direction plus évidente que celle de la suggestion.
N’importe quel apprentissage demande de l’information, et donc au moins de la diffusion sinon, du stockage. Si le poids des savoirs que nous apprenons tout au long de notre vie, il y en a qui ne sont pas lié à une personne. Alors vous pouvez faire tout ce que vous voulez pour tenter de vous en approcher. Comme nous l’avons vu, elle est devant nous, pas derrière. Ainsi, elle permet au moins deux avantages :
- Redonner du sens à la valeur humaine individuelle ou collective et au pouvoir d’agir véritablement
- Définir un repère concret permettant de traverser les âges de la technologie
Et qui dit stockage dit volume et/ou espace ou poids d’information et par conséquent énergétique. Or, si les échecs nous ont toujours permis de remonter la pente, cela afin de faire mieux que ce qui existait auparavant et avec moins de ressource. Du fait que la réflexion soit souvent instantanée, c’est aussi l’information elle-même qui ne trouve pas d’autres solutions que celle de l’expérience pour continuer d’évoluer correctement. Et dans ce cadre, elle ouvre et décuple les possibilités d’adaptation, elle montre le chemin permettant d’y conduire un raisonnement concret.
Même si elle laisse entrevoir que nos réflexes sont parfois inutiles face à la puissance d’une institution. Elle ne peut relever de la propriété d’une entreprise, alors elle laisse aussi la possibilité à quiconque d’y trouver un peu de réconfort.
Donc si vous avez une meilleure idée, si une personne aurait une proposition pour améliorer considérablement un outil ou un système quelconque, cela pour de faire des économies drastiques d’espace et/ou de temps, alors je trouverais logique de les placer tout en haut de nos idéaux. En-tout-cas, je reste bien évidemment à votre disposition pour échanger sur le sujet.