Ma mère m’a toujours dit de ne jamais parler à des inconnus.
Et surtout, si on te propose des bonbons, tu refuses, hein ?
Pourtant, je me suis mis à écrire ce blog pour délivrer autre chose que des vagues notions de thermique, justement à des inconnus. Car pour avancer et bâtir une culture pour une société contemporaine, il faut un peu de matière quoi ! Des choses vivantes !! Et qui sait l’instant d’une rencontre, c’est peut-être le début d’une nouvelle aventure ?
Ce lien masqué par la technique
La confiance, cette notion abstraite qui fait de la relation humaine une source de stabilité par le simple fait d’exister. Elle est l’essence même d’une bonne transaction, puisqu’elle fonde l’échange dans un laps de temps que vous maîtrisez. Souvent, il faut une équipe, dans le sport-co, la passe, c’est toujours mieux si elle est rattrapable.
Vous savez, c’est autre chose qu’un simple lien que l’on vous balance dans un mail automatisé. Ce n’est pas non plus une case à cocher dans un formulaire. Et c’est vraiment à l’opposé d’un programme informatique en qui vous n’avez probablement moins d’attrait qu’un être vivant.
Pouvoir compter sur quelqu’un lorsque survient un imprévu. Avoir une oreille attentive qui vous écoute lors d’un coup de mou. Dans certains cas, l’intimité d’une personne est ce qu’il y a de plus précieux au monde, et vous ne voudriez en aucun cas que ce soit quelqu’un d’autre.
Oui, mais voilà, le numérique aujourd’hui permet d’introduire certaines notions qui n’étaient pas possibles de faire avant. Comme par exemple la multiplication de la parole, ou encore, l’utilisation de l’image par certaines applications. Un message posté sur un réseau qui sera vu plusieurs milliers de fois par des gens que vous ne connaissez même pas, ça donne une direction. Et surtout ça peut aussi donner des idées aux autres…
Mais alors comment avoir confiance ? Comment faire aujourd’hui pour ne pas tomber dans le piège de l’escroquerie ?
Il y a dans l’énergétique moderne, certaines notions qui ne peuvent tout simplement pas être transmise par de simples mots. Et nous verrons plus loin comment les concevoir.
Donnant donnant, pour vous servir
Dans une offre commerciale, le client est le seul maître à bord, c’est le seul juge capable de sa propre satisfaction. Pourtant, lorsque l’on évoque les sensations, je ne vois aucun inconvénient à ce qu’il existe des tolérances sur ce qu’il est possible d’accepter. D’ailleurs, ça se passe tout le temps dans chaque situation. Finalement, lorsque l’enjeu se destine à contenter deux partis, il y a souvent un sens. Et parfois, cela peut donner lieu à de nombreux échanges constructifs.
Toute fois, il arrive que surviennent des situations alors que l’on ne souhaitait pas qu’elles arrivent, c’est constant. Des petits malins qui engagent des commentaires désobligeants, il y en aura toujours. Des exigeants pour qui certains détails ne serai pas bien placés, ça n’existe pas que dans les journaux télévisés.
Après tout, il y a des choses que l’on peut faire toute sa vie sans jamais ne rien saisir à la finalité du geste. L’action qui pourtant donne une cadence en dis long sur la manière dont nous gérons nos dossiers. Finalement, lorsque nous prescrivons des solutions intellectuelles dans l’espace et dans le temps, il est normal de ne pas savoir avant de l’avoir vu. Ce n’est qu’après que vous pouvez vous dire :
Mais oui, bien sûr, j’aurais pu y penser !! Ou encore, mais oui j’aurai pu le faire.
En règle général, vous ne pouvez pas exiger de quelqu’un qu’il vous fasse confiance. C’est aussi le goût de la prise de risque. Et sans aucune histoire en commun, ça peut être très long. Rassurez-vous, lorsque c’est imprévu, c’est certain, il n’y a pas besoin de tout maîtriser. Vous constaterez qu’il y a beaucoup de choses qu’un humain peut accepter sans que ce ne soit perçu comme une menace ou une arnaque. Je crois que beaucoup de bases de la négociation se trouvent justement dans ces principes intérieurement profonds.
Vous conduire là où vous souhaitez
Sur terre en tout cas, pas ailleurs, l’espace à l’air bien vide et l’esprit de la conscience donne l’envergure des possibles. Je ne sais pas si c’est une bonne ou une mauvaise chose. D’ailleurs, je ne peux pas le savoir à votre place. Cependant, ce que je crois, c’est qu’il y a un temps pour tout. Un temps pour l’action et un pour la non-action. Un temps de travail, un temps de repos, un temps pour regagner confiance. Si l’humain invente des machines qui fonctionnent sans interruption, avons-nous oublié que nous n’en étions pas ?
Dans un déplacement d’objet, lorsque la taille rentre en jeu, il est bien évident que la ressource en place est précieuse. Puisque si la taille de l’objet est plus imposante que la partie qui peut la contenir, alors, oui, il peut y avoir comme des petits problèmes de dimensionnement.
Sauf qu’à notre époque, la donnée est-elle confondable par le simple fait de s’exercer à la discipline, savoir qu’elles existe, oui, je crois que ça peu aider. Aller plus loin, ça dépend forcément de chacun.
En réalité, pas mal de gens s’en moque. Alors si l’objectif est de regarder un écran, beaucoup peuvent le faire. Quel intérêt si ce n’est qu’elle nous hypnotise l’esprit de la consommation des corps rendant toute perception impossible. La connexion temporelle n’a souvent pas la même valeur lorsque que la distance parcourue est proche de l’objectif recherché. Seulement lorsque nous nous en rendons compte, c’est à ce moment-là qu’éteindre l’écran devient une responsabilité.
Bienvenue dans le monde des idées !
Vous apporter ce dont vous avez besoin
Si l’objectif est un peu flou, c’est parfait, vous verrez que lorsqu’on en arrive à ce constat de temporalité, les idées elles même arrivent au fur et à mesure que nous avançons globalement. Et c’est bien normal, dans la mémoire à court terme, ce n’est pas vraiment ce que l’on sauvegarde en premier. Si nous ne savons pas tout dès le départ, il est logique de piétiner devant l’inconnu.
Lorsque nous progressons dans la confiance, il y a parfois des bons en avant. Des sortes de déclic, on parle souvent de prise de conscience. Alors, pouvons- nous évoquer une sorte de lecture de l’espace qui permettrait de relier les bonnes temporalités vis-à-vis de l’environnement sur ce que l’on souhaite obtenir ou produire ?
Dans l’analyse au niveau de la précision, il y a des longueurs qui peuvent évidemment se dégager. C’est aussi ce qui rend l’obsolescence des possibilités. Un travail de bureau tel qu’il existe actuellement ne permet plus de se passer de renseigner des chiffres dans des cases, l’accès à l’image permet de le remettre.
La démarche peut faire sourire, seulement dans certains cas, il peut ne pas y avoir d’autres choix. Comment faites-vous par exemple pour arriver à la suggestion ? Un pas de côté, un angle de vue différent, un reflet invisible rendant la perception visible. La lumière rebondi, traverse la conscience sans que l’inconscience ne l’enregistre.
Ainsi, s’il n’existe pas d’équivalent à ce qu’il est possible de proposer, c’est que l’expérience à du sens. Et qu’il sera peut-être nécessaire d’en inventer de nouvelles. Dans ce nouveau cadre, il sera probablement utile d’en discuter, et je crois que le moment présent est sans doute le meilleur des choix pour en toucher deux mots.
Un décrochage en bon et du forme
Une donnée pas comme les autres, un truc que personne ne soupçonne. Est ce que la bureaucratie d’aujourd’hui peut accéder à la confiance, pour l’avoir cherché dans de nombreuses directions, je ne pense pas.
Si ça peut sembler évident pour tout le monde, ce n’est pas ce qu’il y a de plus simple à faire émerger. Une action qui ne dépend ni de moi ni de vous, car elle trouve ça source dans la réflexion de l’ensemble. Vous pouvez l’appréhender sereinement dans tous les cas, si nous restons vivant c’est pour construire. Vous verrez, certaines notions ont aussi cette capacité à se fondre dans la masse.
Pourtant, l’on visualise mieux les résultats, vous pouvez constater des petits sauts imperceptibles à l’œil nu. Ils permettent effectivement de faire avancer la connaissance avec l’environnement. Donc lorsque la manière dont la valeur est transmise est toujours la même, peu importe la personne qui la donne finalement. Car il convient de savoir que certaines notion peuvent se retransmettre autant de fois qu’il y en aura besoin.
Allez, viens, on va bien se marrer ! Tu vois bien qu’une structure artificielle aussi intelligente soit elle ne peux pas le faire.
Et puisque l’observation de la matière et du vivant permet de comprendre un tout. Si le temps de la perception correspond à combler le manque à la réalisation d’un projet, je trouverai normal de ne pas s’en passer et de s’en servir largement.
Battez-vous pour conserver de belles images. Misez sur l’humain ! Je crois que c’est désormais le seul vrai facteur de confiance.
Crédit photo de mise en avant : Duo Symbiose