Lorsqu’il est question de transmission des savoirs, pour une entreprise qui s’adresse à des professionnels, il est évident qu’une formation permet d’élever les degrés d’intelligence collectives. Cela a tend à faire progresser la réflexion dans le bon sens. Si tenté qu’elle vous apporte ce que vous souhaitez vraiment. Pour un professionnel, il s’agit donc de maximiser les coûts pour en réduire le temps passé. De quoi profiter pleinement du temps qu’il vous reste pour faire autre chose…
Donc si vous faites partie de ces gars, vous pouvez tout à fait vous dire que vous avez la solution la plus intéressante et vous pouvez vous satisfaire de ce que vous avez.
Il est évident que s’il n’y a rien. Il n’y a probablement aucune chose à redire sur le sujet, d’ailleurs, il n’y a rien à étudier non plus, rien à analyser, c’est très bien, vous êtes le meilleur. Franchement, ce n’est pas drôle, c’est même un peu triste. Si les dés sont dors et déjà lancés et les résultats connus, alors vous pouvez admettre qu’il n’y a plus rien à y construire, plus rien à rajouter.
Cependant, certains n’ont pas cette capacité à économiser cette ressource comme vous le faite. Et puis, un humain moyen ne fait pas forcément la différence, ce qu’il souhaite, c’est le rendu, pas d’être formé, il veut savoir. Il y a pourtant un lien profond entre l’apprentissage et la pratique qui ne permet pas de tout savoir ou de tout avoir à l’instant t.
Alors, s’il persiste un moyen permettant de continuer à construire en utilisant le juste besoin, et bien, personnellement, je ne vais pas me gêner, je le prends comme il vient et je vous le transmets bien volontiers si c’est ce que vous souhaitez.
Utilisez vous les bons outils ?
Vous est-il déjà arrivé de boire de l’eau sans verre, sans réceptacle, au robinet par exemple, même si c’est tout à fait envisageable, c’est beaucoup plus complexe qu’il n’y parait.
Vos mains ont beau être étanche, elle ne peuvent que contenir une certaine quantité d’eau. Quelque chose de déjà plein ne peux se remplir davantage. Vous pouvez être contraint de laisser couler l’eau pour continuer à l’aspirer. Et puis, il y a toujours des fuites, vous pouvez alors constater que ce n’est pas si simple que ça. Le gaspillage est là bien présent devant vos yeux désœuvré et vous ne pouvez rien y faire. Vous pouvez aussi mettre votre bouche sous le robinet, sans les mains, la tête à l’envers. Ça peut sembler plus astucieux, mais vous conviendrez que ce n’est pas non plus terrible pour déglutir.
Lorsqu’on étudie les risques, ce que l’on observe, c’est l’ensemble du fonctionnement pour en déduire la meilleure alternative. Si l’on souhaite économiser de l’eau pour boire un coup, alors, il vous faut autre chose que vos mains pour ne pas l’envoyer dans le fond de l’évier. Alors, si vous souhaitez l’emporter, optez pour la gourde, et remplissez simplement la quantité souhaitée.
Le pot, élément primitif de la stratégie de l’évolution semble tout à fait adéquat pour contenir ce genre de fluide. Miracle, ça existe déjà !
Quel intérêt de vous parler de ça ? Et bien, s’il possède un pied, c’est plus classe !! Même si j’ai toujours voulu rédiger un article sur l’apparition des gobelets dans les festoch. Je dois avouer que pour un petit coup de vin, c’est nettement plus agréable, cette finesse. Alors, pour les gobelets réutilisables, nous modérerons plus tard.
Si nous en sommes arrivées jusque-là, à penser que le vin doit continuer de se boire dans un verre à pied, alors, pour renouveler des verres cassés, il y a-t-il une ressource que nous ne percevons pas ?
C’est pas vrai, il faut que je lui dise !
De nos jours, de nombreux professionnels se cassent les dents sur les outils numériques. Sur la manière de rendre une modélisation affiné durant plusieurs heures à un individu qui découvre tout juste que ça existe. L’expert observe et donne le temps, il s’imprègne des écarts pour trouver comment aborder et pointer le sujet. Le particulier voit souvent autre chose.
Allez dire à votre boucher que ce n’est pas comme ça qu’il doit couper son jambon. Expliquer lui votre métier, vous verrez ce qu’il en pense. Pas seulement dans cette discipline, mais dans toutes les autres. Faut-il faut encourager l’activité ou le rendre plus docile ?
Beaucoup de gens se disent que les règles doivent évoluer, très peu ont cette volonté d’aller jusqu’au bout.
Assaillit par la pointe de la culture, les donneurs d’ordre n’ont plus d’idées suffisante pour organiser la bascule des responsabilités. Entrainant l’administratif vers des notations impossible sans se rendre compte de la cohésion d’un ensemble.
Nombreux sont les clients morts de rire en regardant le nombre de données à renseigner dans une analyse, ce que je fais pour rattraper des pots cassés. Pourtant, lorsqu’on élargie la perspective, certains détails peuvent vous sauter aux yeux. Il y a des cas, si personne ne vous le dit, ça passe à côté, personne ne remarque.
Après quelques explications, je trouve souvent un accord, un point d’accroche. L’échange est constructif par rapport à ce que l’on me donne. Ainsi, nous pouvons nous remettre sur nos sujets respectifs. Pas besoin de logiciel pour discuter entre les individus.
Ça peut paraître simple, mais souhaitant bien faire vous pouvez tout à fait constater la difficulté que représentent certaines transmissions. Je crois que quand la valeur reste stable, c’est qu’il est tant de se poser les bonnes questions. Dans la discussion, parfois, ça peut être très long…
En observant comment sont menées les approfondissements, la difficulté que représentent les analyses d’aujourd’hui. Certainement, vous pouvez croire qu’il y en a en haut qui en profite à max ! Forcément, les révolutions viennent plutôt du bas…
Alors, je m’efforce d’exercer avec autant de conviction et de passion que possible. Probablement tout cela n’est que difficilement maîtrisable par une seule personne.
A bon, vous croyez ?
Planquez-vous derrière une constante !
La technique : c’est ce que l’on apprend en se formant à différents fonctionnements. Au fur et à mesure que l’on avance dans la vie, vous pouvez maîtriser les gestes, les outils, les combos. En vous servant de ce que l’on a déjà, et c’est déjà pas mal. Vous tendez vers un objectif. D’ailleurs, c’est généralement comme ça que l’exemplarité est transmise aux nouvelles générations.
Dans la dynamique, ce que vous cherchez, c’est la stabilité, pas forcément la rapidité.
Il est évident que la régularité permet d’uniformiser les états, et de ne pas confondre avec une autre mesure. Cependant, la notion de renversement des situations donne du fil à retordre en laissant penser que l’information est difficile à délivrer. Non, ce n’est pas difficile. Ce qui reste délicat, c’est le milieu dans lequel cette valeur évolue.
Lorsqu’il est plus simple de faire une démonstration, la théorie n’est plus suffisante pour expliquer la pratique. La stupéfaction donne satisfaction en entrainant toujours vers des incompréhensions plus grandes des phénomènes.
Si vous pouvez le faire tout seul, tant mieux, sinon autant le faire à deux, c’est mieux.
Mais, lorsque le but est de délivrer de la valeur, alors combien ça coûte ?
Le seul critère intéressant
La différence entre un particulier et un professionnel réside dans la finesse des résultats. Le particulier veut des trucs précis, il est titilleu sur les chiffres, il ne se satisfera jamais d’un résultat médiocre. Il souhaite le meilleur, et ça peux se comprendre, je suis pareil.
Il prendra tout votre temps à demander des variantes, à ajuster des petites choses qui n’ont pas forcément d’intérêt pour ce que vous souhaitez lui transmettre. Même s’il est prêt à mettre le prix, il préfère que ça soit gratuit et qu’il en possède tous les bénéfices.
Seulement, si une opération que demande un particulier sur la précision d’un calcul énergétique ne peut pas se faire sur un logiciel, alors vous tenez le gros lot ! Vous avez de quoi soulever une montagne et déplacer des continents.
Aujourd’hui, je crois que ce n’est plus possible sans une petite bascule.
Dans les critères à renseigner dans les outils d’aide à la décision, cela devient de plus en plus hypothétique. Franchement, il y a de quoi s’y perdre, rien que pour trouver des noms cohérents à des variantes de calculs. C’est à s’arracher les cheveux dans certains cas, surtout lorsqu’il s’agit de s’y retrouver 2 ans après.
Pas de panique !
C’est dans ces moment là qu’il est important de remettre du sens, en allant chercher d’autres notions négligées jusqu’à présent. Notamment celle qui permettent de rester en harmonie. Lorsque nous tombons d’accord sur des désaccords, c’est bien là qu’il peut y avoir des confusions. L’historique de la connaissance commune permet de retracer le fil et d’orienter votre prochaine étape.
D’autant plus qu’avec les orientations gouvernementale qui évoluent tout le temps. C’est à vous donner le tournis. Si elle mélangeant des aides financières, des notions de gain ou de carbone, alors je vous tire mon chapeau si vous ne faites aucune boulette.
Le bénéfice du risque
Le risque est un choix. Une incertitude perçue et maîtrisé sur les possibilités de ce que l’on souhaite envisager dans un instant donné. L’accident est un imprévu, quelque chose de non souhaité qui survient alors que l’on ne souhaitait pas qu’il arrive.
La prise de risque, c’est donc ce qui se passe par rapport à ce qui arrive. Comme ce qui arrive n’est que rarement maîtrisé avec une précision irréprochable, alors il revient à chacun d’en apprendre davantage sur la manière dont se comporte les réactions. Cependant, avec l’avènement d’Internet, il est possible d’apprendre beaucoup de choses sur nos coutumes, sur la façon dont nous pouvons économiser au mieux ce que l’on a de plus précieux.
Il est donc important d’introduire la notion d’assurance qui n’est rien d’autre que la prise de risque par rapport aux nombre d’accidents. Lorsque l’assurance est équivalente à la prise de risque, vous êtes probablement dans une configurations stratégiquement optimal.
Vous pouvez tout à fait maîtriser un outil de simulation en quelque temps pour tirer le meilleur de votre installation. Simplement, lorsque les économies concernent des petites choses, soit disant futile, alors c’est là que les grandeurs deviennent immensément grande.
Exactement comme sur cette situation de boire de l’eau au robinet. Si vous n’avez pas de verre, vos mains restent le meilleur moyen.
Rassurez vous, tout va se passer
Suivez des chemins tout tracé par vos aïeux, il est fort probable que vous tombiez sous le coup de la monotonie. Vous aurez une vie morose sans possibilité de retour.
Choisissez la bravoure, faites des découvertes, dépassez vos peurs et affrontez l’impossible. Vous pourrez ainsi valoriser des qualités humaines désormais oubliées. Certes, cela demande de partir à l’aventure pour explorer de nouvelles façon d’entreprendre.
Personnellement, je crois que c’est le seul moyen, ne serait-ce que pour conserver une once de liberté et d’équité pour tout le monde. Peut-être devrez vous vous équiper correctement. N’hésitez pas, je suis là pour ça.
