Sur Internet, on peut en apprendre des choses ! Beaucoup ! De nombreuses données circulent, se stockent et se diffusent largement. La perception est instantané, pourtant, apprendre demande souvent plus que quelques passages…
Cet univers que nous partageons tous, nous l’avons construit après tout, il est probablement la source de nombreuses contradictions sur la manière dont les choses qui n’évoluent pas sont enseignées.
Quand je suis né, Internet n’existait pas encore, du moins pas comme il est actuellement. L’ergonomie de la technologie s’adapte-il à la volonté de chacun ?Il y a-t-il des principes que nous ne pourrions pas réaliser sans une certaine forme de pragmatisme de la probabilité environnementale.
Faites vous les choses à la dernière minute comme moi ? Préférez-vous passer plus de temps avec vos amis à vous taper la cloche, où est-ce que vous vous rendez la vie plus simple en vous servant d’eux ?
La donnée, ce paradigme rudimentaire qui donne l’envergure du décor, ne demande pas moins qu’un peu de considération pour continuer à persister. Car dans le visuel existentiel qui vous entoure, les actions que nous menons par la réflexion ne sont jamais définit à l’avance dans le temps. Le virtuel fait désormais parti de l’espace et appel à appréhender la donnée correctement pour ne pas se fourvoyer. Venez vers moi, ce sera plus simple.
Vincent, c’est bien beau ton truc, mais qu’est-ce que tu veux que j’en fasse ?
Cet article est une ébauche et demanderait certainement un plus long développement je pense pour être exhaustif. Il reste encore beaucoup d’interrogation. Néanmoins, la principale notion que l’on peut trouver pour qu’une donnée soit intéressante, c’est la valeur qu’elle possède. Souvent, c’est elle qui vous conduira quelque part.
La valeur et le travail
Habituellement, les physiciens utilisent ce terme de « travail » pour décrire des actions engendrées par différentes forces dans un système, par exemple lors d’un déplacement mécanique.
Une force ?
Oui, tu vois, lorsque j’ai le besoin d’injecter un mouvement de rotation pour faire avancer une roue par exemple, ou bien, si je souhaite analyser un crash d’automobile, j’ai cette nécessité de bien connaître les interactions qui entrent en jeu dans un bilan. La force s’exprime en Newton, le travail s’exprime en quantité d’énergie (en joules) et ce n’est pas de la politique, c’est bien physique !
La lucidité n’oblige personne à comprendre la relation qu’il peut y avoir entre ce qui entre et ce qui est produit, ni pourquoi un outil a été conçu comme ça. Dans certain cas, il n’y a pas forcément de justification. Mais ce qui n’est que rarement exposée dans les hautes sphères ministérielles, c’est bien la valeur de l’effort. Après tout, c’est logique, pour en arriver-là, il faut un peu de tout. À ne pas confondre avec beaucoup de merde surtout !
Donc, pour améliorer la perception d’un travail, je pense qu’il serait vraiment intéressant de conserver en tête qu’il y a tout en haut de nos objectifs communs des valeurs qui ne peuvent se transmettre que par l’exercice, autrement dit, si vous n’essayez pas, vous ne pourrez pas comprendre.
Cependant, préservons-nous d’imposer des choses à un spectateur exigent ou dans l’incapacité. Car rappelons nous, dans toute exploration des sensations, il peut y avoir des notions déroutante et différente en chacun de nous. Par exemple, l’expression du vertige est propre à chacun, nous pouvons ne pas avoir la même perception du vide après tout.
La valeur du travail
Vous cherchez un boulot intéressant. Je crois qu’il n’y a que des compromis, ou alors, il ne faut pas l’appeler comme ça, mais certainement : passion, activité, hobby. Vous avez une tâche à accomplir, un truc que personne ne veux faire, un boulot ingrat qui n’existe que dans les films, ça, c’est le travail comme on le fait classiquement dans une usine, dans un entrepôt, dans un centre logistique…
Pendant que certains restent bloqués dans des institutions, partout autour de moi, je vois des gens qui explorent de nouvelles façon de vivre.
Que fuient-ils ?
Pour concevoir de nouveaux équipement, au fil du temps les ingénieurs ont répertoriés, inventoriés des forces. Souvent, cela concerne les moyens de transport, les machines-outils… En fonction des travaux ou des actions qu’ils avaient à réaliser, les outils s’adaptent. Ces notions de réaction et d’interaction donnent des échelles de perception des puissances.
Nous avons notamment la capacité de dire « ton truc n’est pas assez puissant, il te faut le modèle au-dessus pour faire ce que tu veux faire ».
Ces machines entraînent dans leur passage le pouvoir de modifier le monde en manipulant des éléments impossibles à réaliser sans, de surcroît toujours plus gros. Après tout, lorsque vous avez une action à porter aujourd’hui, il est délicat de le faire sans outils.
Au fur et à mesure de notre évolution, les équipements se sont sophistiqués, la valeur s’est « fondu » dans la masse que nous pouvons intégrer pour répondre à nos contraintes, les équipements se sont spécialisés. La sens du travail à perdu toute notion du risque.
Depuis la nuit des temps, l’homme rivalise d’imagination pour faire travailler les gens ou des systèmes à leur place. L’économie n’y échappe pas dans la manière ou lorsque vous êtes aux commandes, vous voyez les choses plus largement. Elle vous offre la possibilité d’inclure une certaine hiérarchie dans vos principes.
Seulement à mesure que le temps passe, créons-nous de plus en plus d’absurdité dans les services à fournir ? Il y a-t-il une raison à cela ?
Les équipements d’aujourd’hui ont considérablement évolués par rapport à ce que nous pouvions faire il y a encore une cinquantaine d’année. D’où l’importance de changer de paradigme.
La valeur ou la donnée ? 🤔
Dans les études énergétiques, il est nécessaire de bien comprendre ce que l’on analyse. Là ou la perception est instantanée, il n’est pas vraiment possible de parler de quantité de travail pour une donnée.
Lorsque je propose à mes clients des rendus d’analyses où des sessions stratégiques, je n’ai pas forcément tous les éclaircissements dès le départ. Mais en général, lorsqu’on cherche à faire des économies, nous souhaitons savoir où !
Alors je creuse. Par principe, je n’impose rien, je me contente d’abord d’observer. Lorsque je vois quelque chose qui m’interpelle, un truc pas normal, une incohérence de grandeur, un chemin plus simple. Je mets le doigt dessus, j’essaie d’éclaircir, mais parfois rien ne se passe. Le vide complet.
Que faire ?
Si nous savons ce que nous voulons obtenir, alors nous savons probablement sur quoi intervenir. Et si nous savons sur quelle donnée agir, alors nous allons probablement l’améliorer. Dans un objectif de progression, rappelons nous qu’il est toujours important de connaître la valeur de l’état d’origine. Cela permettant de prendre le cap vers la valeur à tendre.
Vous serez bien d’accord avec moi qu’il s’agit d’une certaine description du problème. Alors pour avoir les deux, et bien, il faut saisir de quoi ça cause.
Seulement, il est très rare d’avoir des chiffres du genre :
Vincent, il me faudrait 1°C de température en plus dans ma salle de bain à partir de 18h32 et durant 36 minutes, après, c’est bon, tu peux couper !
Non, cela n’existe pas.
La valeur et la donnée ! 🤨
Dans une situation d’audit énergétique avoir l’ensemble du problème, c’est déjà beaucoup. Cela signifie posséder une unité et une variable qui soit cohérente par rapport aux contraintes à réaliser. Lorsque l’on observe la majorité des situations du quotidien, ça peut être 15 haricots, 3 chaises ou 25 mètres de tuyau. Ce n’est pas plus sorcier que ça.
Dans tout processus de consommation, ça reste la même chose. Même si les unités physiques sont légèrement plus alambiquées dans les calculs thermiques, ça demande quand même de compter de la même manière que pour ces objets communs.
Imaginez, si vous devez passer une commande et que vous en souhaitez 50. Vous pourriez vous demander, mais de quoi s’agit-il ? Pensez à la recette du gâteau que vous devez réaliser, elle vous demande un peu de farine, en général, vous souhaitez savoir combien de gramme il vous faut. Dans ce cas, vous prenez une balance, c’est logique.
Avoir une partie du problème, c’est bien beau, encore faut-il avoir des clés pour pouvoir le résoudre. C’est dans ces moments qu’il est possible de déterminer ce que l’on fait de ces éléments et d’observer les enjeux. En général, la matière première permet l’inventaire pour concrétiser n’importe quel projet. Et donc, si vous ne savez pas d’où vous partez, il sera délicat d’envisager une amélioration, une dynamique.
Au final, cela revient à décrire ces notions dans le temps et dans l’espace. Ensuite, elles permettent de discuter tranquillement et d’affiner les ordres de grandeur.
La valeur de la donnée ! 🙂
Une information précieuse, doit-elle être bradée sous prétexte qu’elle est bénéfique à une communauté ? Je ne crois pas.
Pourtant si tout ce qui m’entoure fait partie de la donnée, si cet ensemble permet d’apprendre à vivre. Alors je trouve que l’environnement ne coûte pas vraiment si cher que ça. Surtout si vous savez comment aborder les différentes questions de notre temps. Néanmoins, pour viser juste, il faut savoir apporter un résultat.
En général, dans ce genre de cas, c’est mieux de sonder à l’avance. Un « oui ou non » n’a pas forcément besoin de justification. Néanmoins, ça peut vous permettre de vous sortir du noir complet, autant vous le partager. Je crois que découvrir sur le tard une réponse qui ne vous convient pas, ça peut faire très mal.
Pour viser dans le mile, il faut probablement avoir plusieurs tours dans son sac. Car si l’analyse manque de rigueur, est-ce que les hypothèses fondamentales sont prisent en compte ? S’il en manque une, l’ensemble du résultat n’est-il qu’une approximation. Peut-il être remis en cause ?
De la même manière que l’énergétique des années 70, pour apporter des vraies solutions, nous puisons dans cette source inépuisable qu’est l’infini de notre imagination. L’horizon des solutions semble s’élargir en fonction des incertitudes, et donc si ce n’est pas ça, est-ce qu’il sera toujours possible d’ajuster.
Après tout dans la conception, rien n’est impossible, car si le temps de l’apprentissage entre en jeu, la manière de faire n’a plus vraiment de limites. Alors, si c’est gratuit et instantané, probablement que vous serez satisfait. Or, pour pouvoir en vivre, vous constaterez que rien est vraiment gratuit dans ce monde…
Si je constate des freins à sa diffusion, est-ce par manque de connaissances des possibilités ? Est-ce par manque de connexion ? Un manque de moyens ? Certainement un peu de tout ça. En tout cas, je ne m’attendais pas à ça, et je crois que cela nécessite de changer votre angle de vu, vous verrez, la relativité s’accroît selon les expériences. Le cap, c’est souvent vous qui le placez.