Si je vous vois, vous me voyez aussi. C’est pourtant simple, non ?
Vous trouvez ?

Si c’était moi sur cette photo, je ne vous verrais pas !
Dans ce monde où les moyens de communications sont omniprésents, il est parfois difficile de se comprendre. Ce paradoxe met en avant la complexité des domaines dans lesquels chacun de nous évoluons. Je constate qu’être d’accord sur quelque chose, ce n’est pas vraiment dans l’air du temps.
Il n’y a qu’à observer les discours politiques ou les puissants d’aujourd’hui planent sur l’ambiguïté de nos savoirs. Construisant des murs à la merci du bas peuple. Ils ne comprennent pas ce qu’il font, ni pourquoi ils font ça comme ça.
Pourtant, à chaque fois que je discute avec quelqu’un, ils n’y a aucun problème énergétique. Ils sont plutôt d’ordre financier. Néanmoins, j’arrive toujours à trouver un point de pivot permettant de nous accorder sur quelque chose. Un fragment de lucidité améliorant la perception collective.
Dans le bâtiment, c’est récurent, vous parlez d’une chose et votre interlocuteur en comprend une autre. Dans ces conditions, il est parfois plus simple lorsque vous évoquez un détail de faire un schéma, de représenter ce que vous dites, de commenter les explications.
C’est que dans le monde de la transmission d’informations, la donnée utile n’est pas vraiment quelque chose que l’on maîtrise à un niveau logique. Vous pouvez être d’accord sur certaines idées, mais pas forcément dans le même temps. C’est ce que nous allons explorer tout au long de cet article.
Cette marche de la vérité
Si le savoir n’est pas essentiel à la transmission du vivant, il n’est pas non plus fondamental à la compréhension de la subtilité.
Dis, comment on fait les bébés ?
T’inquiète mon p’ti tu comprendras quand tu seras plus grand.

Dans le cercle de l’intime, certains détracteurs pourraient vous faire croire que nous maîtrisons toute la chaîne de la donnée. Or, pouvoir se rendre compte et reconnaître que nous sommes tous ignorants lorsque nous venons au monde, c’est déjà un petit pas.
Nous apprenons avec l’expérience des autres, en reproduisant ce qu’ils font, en l’intégrant dans notre environnement. Bien sûr, cela n’exclut pas l’économie. Mais lorsque nos représentants oublient que cette continuité ne dépend pas d’une logique rationnelle, alors je trouve qu’il est bon de passer le relais. Sans cela, les modèles d’aujourd’hui conduisent à reproduire certaines grossièretés à travers les générations.
Et quand l’absurdité des discours vous saute aux yeux, c’est là qu’il est possible de retrouver du sens. Si c’est une question d’envergure et de taille de zizi, alors rien ne nous empêche aussi d’aller très loin dans la connerie.
Car si vous prêtez l’oreille à l’attention des volontés collectives, elles conduisent elles aussi à des incohérences qui ne permettent plus de satisfaire l’expérience humaine. Soit disant, il faudrait agir ensemble. Il ne faut pas tout mélanger, c’est à se demander d’où partent les révolutions.
Alors, quelle dimension engendrer ?
En perdant le repère temporel, la vitesse de transmission des nouveaux esprits semble perdre de vue un cap essentiel au convenable. Lorsqu’il prend plus de place qu’il n’en faut pour vivre, les archaïques en place perdent leurs capacités à maîtriser les enjeux les plus simples. Ils vous promettent des miracles dans les nouvelles technologies. Des principes devenant alors obsolète pour ce que nous souhaitons construire, vous ne trouvez pas ?
Il convient alors de retrouver un certain sens du rythme en ouvrant à un renouvellement des pratiques.
Pourtant, je reste persuadé que nous nous satisfaisons uniquement de ce que nous possédons. Dans ce cadre, je ne vois pas forcément d’autre chemin que de trancher par le milieu. C’est pourtant évident, la connaissance des êtres vivants n’est pas compatible avec celle d’une machine puisque ce n’est pas la vôtre.
Pour bien vivre, nous gagnons du temps sur notre manière de concevoir notre espace. En nous laissant la possibilité de faire autre chose que l’inutilité, nous pouvons construire avec clairvoyance et discernement. Nous équilibrons nos ambiances selon la place que nous prenons et l’espace que nous souhaitons. C’est tout.



Dans l’économie énergétique moderne de la connaissance, de la relation humaine et de la donnée, il est certain que l’information utile devient prépondérante par rapport à toutes les méthodes que nous avons mis en œuvre jusqu’à présent. Celle de prouver votre valeur et d’apporter de la confiance dans l’inconnu. De donner à voir des éléments de résultat pertinent et réactif. Celle de vous rassurer par rapport à tout ce qui existe.
Donc, plus vous serez décalés par rapport au temps qui passe, au temps du présent, plus vous accumulerez du retard par rapport à l’ensemble de la connaissance, de ce qui existe, du vivant et de ses capacités. Et plus la stupéfaction vous semblera sidérante lorsque vous vous en rendrez compte.
La transmission de pensée
Je dois dire qu’il n’existe pas encore de bilan carbone à l’heure actuelle en ce qui concerne la transmission de la qualité, et je ne peux rester insensible face à ce constat. Mais je pense que toute volonté d’économie énergétique doit démarrer par ce point : produire de la donnée ça demande de l’investissement.
Comme on dit, il faut d’abord faire première impression avant de pouvoir approfondir. Ensuite bien sûr, les échanges peuvent découler sur des analyses plus précise et plus complexes.
Ainsi, dans l’espace que vous occupez, plus vos fichiers sont lourd, plus vos informations demanderons des ressources, donc plus votre bilan sera important. Si nous pouvons nous voir au travers d’une fenêtre, notre histoire commune autour de l’information se joue dans l’authenticité des souvenirs et dans la perception de la robustesse, plus vraiment dans la technologie…
Ainsi, si vous trouvez le moyen de transmettre des données utiles, sans enregistrer vos informations, alors vous serez les rois du nouveau monde. D’humain à humain, il est assez simple de s’accorder. Lorsqu’il s’agit d’un groupe, il y aura toujours des gens pour vous dire que ce n’est pas comme ça que ça marche.
Mais que faut-il faire alors ?
Au bord du précipice
Les outils de calculs que nous utilisons ne permettent pas l’empathie et la sensibilité, le touché, la vue, l’odeur… Tout cela ensemble. Ils sont peut-être très forts pour mémoriser et manipuler des données, mais ce ne sont que des algorithmes. Ils ont beau être rapide, ils ne permettent pas de réagir correctement à la perception d’une envie ou d’un besoin. Il ne contextualise pas un échange humain comme je le comprend, avec leurs capacités. Il ne permettent pas de vivre tout simplement.
La simulation thermique dynamique nous donne de quoi anticiper et interpréter ce que souhaite un client dans un projet futur. L’expérience qu’elle propose donne la hauteur de la connaissance qu’il faut pour piloter ce genre d’outil. Si l’objectif que l’on recherche en pratiquant ce type de manipulation, c’est de satisfaire notre client par rapport à l’environnement qu’il souhaite produire. Alors, vous conviendrez qu’il est important de transmettre aussi ce qu’il ne peut pas faire. A savoir, réduire la difficulté pour qu’il puisse appréhender sereinement ce que vous voulez lui transmettre.
Devant l’interprétation et la complexité d’une modélisation, il y a effectivement de quoi se questionner sur les chemins que vous empruntez pour comprendre un raisonnement. Par exemple, si vous souhaitez vous arrêter sur un point précis, pour représenter de nouveaux détails ou pour observer un autre paysage. Il vous faut alors peut-être d’autres méthodes, vous n’avez peut-être pas d’autres choix que de changer d’équipement. Afin de gagner du temps ou pour prendre en compte de nouveaux critères, c’est souvent l’expertise qui à le dernier mots. Dans certains cas, il faut autre chose que des logiciels de calculs.
Cela demande du temps pour renseigner des équations. Donc si vous savez ce qu’elles fournissent comme résultat, rien ne vous empêche d’emprunter des raccourcis. Une analyse pour remettre un point d’égalité à des possibilités réalistes, rien d’autre. Si c’est pour éviter de tomber dans le vide sidéral de la débilité, autant vous avertir dès le début comment ne pas y aller, et comment vous sortir de là.
Mais oui, après tout, lorsque vous faites du sport ou que vous jouez d’un instrument. Vous êtes concentré sur votre tâche à accomplir, difficile de faire autrement… Quand il s’agit d’efficacité et que la concentration est de mise, il ne vous viendrait pas à l’idée d’évoquer vos aventures de vacances.
Rassurez-vous, aucun outil numérique ne descend à ce niveau-là de perception, en tout cas, je n’en connais pas encore aujourd’hui. Voilà de quoi remettre un point d’honneur à l’intelligence vivante et à la connaissance commune.
Alors vous savez ce qu’il faut faire ?
Reconnaitre l’humain
Dans une vidéo, dans une photo, vous savez probablement à quoi il ressemble. Et ce n’est pas très difficile, cette question pourrait même vous faire sourire.
Cependant, comme chacun le sais aujourd’hui, les machines que nous mettons en place ont cette nécessité de reconnaître que c’est bien de vous qu’il s’agit. Je dois avouer que ce problème est un des plus cocasses à résoudre. Un captcha, une sélection de feu rouge, un puzzle à résoudre ou une addition à faire, ces éléments vous disent-ils quelque chose ? Tant de moyens pour prouver votre valeur.
Pourquoi un tel dispositif a été mis en place ? Pourquoi a-t-il besoin de savoir qu’il s’agit bien de vous et que vous êtes humain ?
Et bien, principalement pour éviter la fraude. Lorsque des petits malins ou des robots se font passer pour vous, vous serez d’accord que ce n’est pas des plus réjouissant pour votre propriété intellectuelle ou pour celle des autres. Mais vous, vous le savez que vous êtes vous-même et bien vivant.
Nous le constatons aujourd’hui, un robot n’est pas un humain. En distinguant ce qu’il fait et ce qu’il ne fait pas, vous pouvez très bien vous rendre compte que cette supercherie qui se dresse n’est pas qu’une question de technique. En vous laissant croire à des capacités d’automatisation qui réfléchirait à votre place. Vous passez à côté de solutions pourtant si évidentes.
Ce n’est que de l’information, et dans l’information il n’y a pas vraiment de cœur. Il ne peut posséder les capacités d’un cerveau moyen ou d’un corps tout entier. Je sais également qu’il ne pourra jamais maîtriser correctement un paramètre pourtant essentiel à la vie, puisqu’elle demande des notions de puissance incommensurable.
Alors, puisque nous savons comment faire pour réduire le risque à sa plus faible valeur. N’est-il pas obsolète aujourd’hui ?
Faire parti du décors
Je m’adresse d’abord à des humains, car l’authenticité du contexte ne peut se permettre de faire ce genre de détour.

Puisque le plaisir d’acheter ne dépend que de vous, autant en avoir pour votre argent vous ne trouvez pas. Quand nous nous confrontons à des situations sensibles, nous prenons toujours plus d’expérience. La marche sidérante d’un déclic qui permet de vous élever et de vous satisfaire du temps que vous avez. Pour réaliser d’autres choses plus utiles par exemple, comme planter des graines, percevoir ou corriger une erreur, maîtriser des réflexes, vendre des idées, s’adapter à l’environnement…
Une robustesse de nos capacités d’adaptation qu’aucune instance ne pourra corrompre.
Acquérir un geste parfait, ça n’existe pas. Vous pouvez y réfléchir effectivement, mais vous allez voir que c’est ce qu’il y a de plus long. Une lucidité d’un parcours qui appelle à la confrontation des idées. Si vous n’êtes pas d’accord, alors en toute modestie, c’est peut-être vous qui avez un problème. Voyons comment le résoudre !
Chez moi, s’accorder, ça peux se faire aussi sans parole. Une lumière allumée pour y voir plus claire sur les limites de nos capacités et de nos réflexes. Lorsqu’il s’agit de faire face à ces nouveaux défis, cela demande d’agir aussi de manière à ce que vous y trouviez de quoi vivre correctement. Et si ça ne vous intéresse pas, libre à vous de partir.
Mais lorsque vous savez comment procéder, vous pouvez aussi faire partie de l’histoire. Je ne suis pas constamment éveillé, ainsi vous pouvez aussi suggérer autre chose, délivrer des constats, proposer une amélioration. Si je reste ouvert, c’est aussi pour ce genre d’échange…
Dans ces conditions, continuez de vous entraîner ! C’est probablement dans la masse que la propagation se diffuse…
Alors pourquoi tu fais ça ? Ben, je ne sais pas, c’est cool, les autres le font alors je le fais…